Deux ou trois ans que je n'ai pas mis les pieds sur ce blog.
J'y ai perdu les habitudes de gestion. Donc ça va faire du travail.
Je peux encore faire écrire Lulu. Elle est toujours en vie et toujours à roder pour demander à manger.
Je reviens d'un long travail sur http://100chevilles.unblog.fr
et d'une autre tentative sur http://ydalir28.unblog.fr
Je voulais faire un nouveau blog, mais finalement je crois que Les-ptilus me plaît bien.
Seulement voilà, il va falloir que je retrouve les habitudes de travail, et que je tente de rapatrier ici les articles de Ydalir ou de Lulu sur blogspace. Ça va pas être simple.
Restez attentifs, un jour ça va remarcher.
Est-ce que cette adresse va marcher ? seulement ?
http://les-ptilus.blogspot.com
mardi 2 février 2016
mercredi 2 janvier 2013
ENIVREZ-VOUS
Il
faut être toujours ivre, tout est là ;
c'est
l'unique question.
Pour
ne pas sentir l'horrible fardeau du temps qui brise vos épaules et
vous penche vers la terre, il faut vous enivrer sans trêve.
Mais
de quoi?
De vin, de poésie, ou de vertu à votre guise, mais
enivrez-vous!
Et
si quelquefois, sur les marches d'un palais, sur l'herbe verte d'un
fossé, vous vous réveillez, l'ivresse déjà diminuée ou disparue,
demandez au vent, à la vague, à l'étoile, à l'oiseau, à
l'horloge; à tout ce qui fuit, à tout ce qui gémit, à tout ce qui
roule, à tout ce qui chante, à tout ce qui parle, demandez quelle
heure il est.
Et
le vent, la vague, l'étoile, l'oiseau, l'horloge, vous répondront,
il est l'heure de s'enivrer ; pour ne pas être les esclaves
martyrisés du temps,
Enivrez-vous,
enivrez-vous sans cesse de vin, de poésie, de vertu, à votre guise.
(In Les
petits poèmes en prose)
lundi 10 décembre 2012
Anorexiques, prêts, partez ! Le kig a farz !
Mon amie Anne O'Rex
Hic, s'étonne de comment, moi seul maintenant, j'arrive à me
sustenter. Et ben je vais te donner de mes nouvelles en te proposant
quelques menus et recettes et que ceux-là servent d'exemples à tous
ceux que la dalle attire dans le chemin de la bouffe !
(PS : le ménage et la couture ça progresse, mais le repassage … Pffff!)
(PS : le ménage et la couture ça progresse, mais le repassage … Pffff!)
Kig a Farz et
légumes anciens !
Pour mon
anniversaire qui fut récent, j'ai proposé un Kig a farz un peu
original au niveau du légume.
Je résume pour 6 à
12 pers : (en vrai on était 5 adultes, mais on a mangé deux
fois!)
Un morceau de
palette (1kg) et une andouille à cuire (grosse) dans un bouillon que
vous garderez, ou non, après l'avoir dégraissé 2 heures de
cuisson. Des fois je ne trouve pas bon du tout le goût du bouillon
de porc. Ce coup ci, il était très bon grâce à l'andouille, et je
l'ai transformé en soupe vietnamienne en deux coups de cuillère à
phô. http://fr.wikipedia.org/wiki/Ph%E1%BB%9F
Un morceau de jarret
ossu, un morceau de plat de cote de bœuf (1,5kg en tout) dans un
autre bouillon dont plus tard on jettera les composants sauf les eaux
et la viande. 2 h de cuisson.
Durant la cuisson du
bœuf on placera dans un torchon serré la préparation pour un far
aux pruneaux ou aux raisins (base 250g de farine.) et dans un autre
torchon pour un far au sarrasin (base de 250g de farine).
Cuire 6 grosses
pommes de terre épluchées ou en robe des champs ; On pourra
les maintenir au chaud au four. C'est pour ceux qui n'aiment pas
autre chose.
Dans un grand
couscoussier ou un grand cuit- vapeur on placera en dessous le
bouillon et les viandes pour les ramener au bouillon. (45 minutes de
chauffe)
Dans le panier
au-dessus, on placera les légumes taillés en bâtons ou en
rondelles (moins de 1 cm) selon les propositions de votre marché :
de jeunes petits poireaux, des carottes de toutes les couleurs, des
racines de persil, des panais, des boules d'or, des navets violets,
des navets verts, des betteraves rouges crues, des topinambours, des
patates douces, …
Cuisson environ 20
min pour les garder al dente. Servir aussitôt.
Pour assaisonner on
préparera au choix des convives un « lipig » (purée
d'oignons au beurre et à la crème sans sucre), une vinaigrette
légère à l’échalote, une mayonnaise mousseline aillée ou non,
ketchup, moutarde, sauce thaï, et autres restes du frigo.
Mais n'oubliez pas
le beurre salé qu'on présentera au côté des farz tranchés
finement.
Une copine de
Roscoff (Bretagne) me dit que chez elle on utilisait les restes des
farz en tartines poêlées ou en crumbles sautés à la poêle avec
du beurre salé.
Image :
carottes-de-couleur-Photo-J.-Clotault-Agrocampus-Ouest-INHP-Angers-507
mardi 11 septembre 2012
Creavitque Deus lemon acerbus.
Extrait
de « Sous la glace » Louise Penny Polar canadien
collection actes noirs / Actes sud
(J'ai
beaucoup aimé l'écriture de ce polar, … même si l'intrigue n'est
pas passionnante.)
Mais
au ton de sa voix, elle
sut qu'il y avait davantage. Elle
attendit puis, voyant que rien ne venait, elle
décida de poser la question.
-
Qu'avez-vous
trouvé d'autre?
-
Dieu, dit-il
simplement. Dans un petit resto.
-
Qu'est-ce
qu'il mangeait?
La
question était si inattendue que Gamache
hésita, puis se mit à rire
-
Une tarte au
citron meringuée.
-
Comment
savez-vous que c'était Dieu?
L’interrogatoire
ne se déroulait pas comme il l'avait
imaginé.
-
Je ne sais
pas, avoua-t-il. C'était peut-être un simple pêcheur. En tout cas,
il était habillé comme un pêcheur. Il m'a regardé de l'autre bout
de la salle avec une telle tendresse, un tel amour, que j'ai été
renversé.
…/…(et,
quelques lignes plus loin)
-
Je m’étais
perdue dans l’endroit le plus familier, le plus réconfortant :
mon salon !
-
Qu’est-il
arrivé ?
-
On a sonné à
la porte. Je me suis demandé si je devais répondre ou me suicider.
On a encore sonné et, je ne sais pas, c’était peut-être un conditionnement social, mais je suis allée ouvrir. Dieu était là. Il avait des miettes de tarte au citron au coin de la bouche.
On a encore sonné et, je ne sais pas, c’était peut-être un conditionnement social, mais je suis allée ouvrir. Dieu était là. Il avait des miettes de tarte au citron au coin de la bouche.
Après la lecture de
ce paragraphe, je suis allé ouvrir le congélateur. Il restait 7
parts de tarte au citron, et Dieu n'était pas là ; peut-être
qu'il ne connaît pas l'endroit ?
Surtout, si vous
rencontrez Dieu, ne le lui dites pas ! Merci !
samedi 1 septembre 2012
Trop tard pour la tarte !
Quand
je vous ai dit que j'allais en faire une pour vérifier !
Je
pensais que vous alliez venir en manger !
Mais
non !
Vous
n'êtes pas venus !
Et
moi, nous sommes resté(e)s seul(e)s devant le gateau !
Je
dis « nous » pour clavioteur et moi.
Il
a préparé la tarte comme il a dit !
MAIS !
Il
a utilisé 250 g de noisettes en poudre entre la pâte et l'appareil
– on va y revenir ! Soyez un peu patients ! - et il a été
obligé de charger un peu en Blédine.
Pour
la meringue, on a récupéré le blanc de l'oeuf qu'on a mis dans la
pâte – on va y revenir ! On vous a dit ! - Alors ça
fait beaucoup. Mais on a expérimenté en mettant le petit sachet de
levure chimique et ça marche ! Mais je conseillerais de mettre
un peu de Maizena dans les blancs en neige parce que malgré les 20
minutes de cuisson des blancs ceux ci sont tombés en dépression dès
le premier refroidissement.
J'en
viens à la pâte : Pour faire luxe on a utilisé la recette du
fond de tarte de la Linzertarte (tarte à la confiture) selon la
formule 229 page 140 de « je sais faire la pâtisserie »
de Ginette Mathiot Nième édition Dépôt légal 3ème trimestre
1981.
200g
de farine + 125g de beurre + 125g de sucre + 125g d'amandes en poudre
+ 1 jaune d'oeuf + cannelle + cacao. Nous, on n'a pas mis les deux
derniers, les poudres, on a pensé que ça pouvait faire un peu lourd?
Faut
touiller et étendre et c'est pas facile à mettre dans le moule.
Nous, on a fini avec les doigts, une petite cuillère et le fond
d'un verre pour mettre la pâte en place ! Pâte à modeler!
Dans
le genre connerie, le clavioteur a mis le fouet à fond dans
l'appareil de la tarte ! Ça a éclaboussé partout, ça nous a
fait du travail de ménage en plus ! Pas malin !
Pour
congeler 11 parts, on a fait 12 parts dans la tarte et 1 part c'est
déjà bien costaud !
Gros
ventre, bourrelets et bisatous !
jeudi 30 août 2012
Tarte mémoire 6 tron (recette)
À
MJ & TT pour une tarte hasardeuse dont on se souvient 35 ans plus tard !
Averto :
J'espère que j'aurai le courage de reproposer cette recette en
version courte soit en fin de cet article soit dans l'article
suivant. Pssst :
Vous savez, vous, où on peut déposer des pages en format .pdf de
manière à ce qu'on puisse les appeler moyennant un lien à partir
de nos merveilleux articles de chez blogspace ? Fin
de l'averto.
Début
de l'article :
Cette recette est restaurée, (c'est normal, c'est de la bouffe), à
partir d'un document manuscrit et fort mal écrit - ce qui nous
permettrait de parler d'un document manumalescrit – mais document
ancien d'au moins 35 ans !
Là
j'en vois qui se marrent : Regardez votre petit environnement
proche et retirez mentalement tout ce qui n'existait pas il y a 35
ans … Ne les retirez pas pour de vrai sinon, balpo et balai de crin
vous ne pourrez plus me lire.
Tu
peux imaginer l'ancienneté autrement, tu te regardes dans la glace
et tu te dis :
« Quelle
gueule j'aurai dans 35 ans ? »
Là,
t'as arrêté de rire, hein ?
Un
peu de respect pour vos pairs et vos paires, ce qui leur fait 70 ans
(une paire de 35) comme Arlette qui a connu des émissions de radio
qu'on écoutait dans des postes en bois !
Souvenirs,souvenirs !
http://youtu.be/411-9U0IN1Q
et c'est pas Johnny (c'est pire) !
Recette :
Il
vous faut une pâte brisée comme le cœur du clavioteur,
ou
une pâte sucrée comme la petite mijaurée qui lui a brisé son
cœur,
ou
une pâte sablée comme un bisou volé sur le sable : nous marchions
sur une plage, c'était l'automne, wabada
http://youtu.be/tQb4eWCAq8c
T'es
sûr que c'était pas l'hiver au milieu de la neige par -20°C ?
Et
de nuit ? (image : Marcel Gotlieb. Auteur BD)
Ouaaiiis
et de nuit !!!
Mais
non, c'est plus sablée, c'est givrée dans c'cas !
Vous
l'achetez toute prête - la pâte - en surgelé ou en fraîche, en
chèque, en carte bancaire.
OU
BIEN : vous pouvez la préparer vous-même avec 250 g de farine,
90 g de beurre, 3 petits Suisses (dans la recette de Roubaix), de
l'eau, et de l'extrait de citron (ça je ne l'ai jamais vu). Nous on
met des œufs aussi, du lait ouvert depuis deux semaines ... mais
nous, on met un peu n'importe quoi, d'ailleurs les invités ils
laissent souvent la croûte sur le bord de l'assiette :
« Oh,
vous savez après tout ce qu'on a mangé, c'était très bon, …
et je ne peux plus rien avaler ! »
et je ne peux plus rien avaler ! »
Des
fois, il faudrait traduire par :
« Oh,
vous savez, au prix où j'ai payé mes prothèses dentaires je ne
vais pas prendre le risque de casser la croûte de votre tarte
qui est très bonne par ailleurs …. »
qui est très bonne par ailleurs …. »
Il
faudra aussi :
Du
sucre en poudre :
quantité masquée dans la recette ancienne, 180 g dans la version
contemporaine.
En
vrai faudra goûter l'appareil pendant son assemblage, parce que ça
dépend aussi des ingrédients et comme à beaucoup d'entre vous,
chers lecteurs, il faut toujours tout vous dire et bien aujourd’hui,
NON ! Vous tremperez l'un de vos doigts et vous goûterez ... et
enfin ! ... vous essaierez d'avoir un avis sur le assez-sucré
ou le pas-assez-sucré de votre préparation.
Si
c'est trop-sucré, il suffira de retirer du sucre, hey, banane !
Je
m'égare et tout devient grossier. Acceptez mes zestecuses, c'est la
chaleur !
(Texte rédigé le 18 août 12 à 18 h 12, ce qui est aussi étonnant).
(Texte rédigé le 18 août 12 à 18 h 12, ce qui est aussi étonnant).
Continuons :
comme dans toutes les recettes après le sucre, il nous faudra du
gras.
Nous
choisirons entre 125 g de beurre ou 250 g de Mascarpone … Je te
ferais remarquer que si tu ne cuis pas ton appareil et que tu le
dresses dans la pâte* (pense à la cuire, la pâte, surtout!) ça te
fera un
tsunami,
non, un tiramisu au citron.
« si
tu ne cuis pas ton appareil et que tu le dresses dans la pâte »
ça me fait bizarre comme expression, pas vous ? Ça doit être
le gingembre, je devrais en mettre moins.
Les
œufs :
Après
le sucre et le gras, si on mettait des
œufs ?
Six!(6) Attention : Il faut casser
trois (3) œufs et les battre entiers
( tu suis?) Faudra ajouter les jaunes des trois autres zoeufs et les
battre avec. On conservera les 3 blancs qui restent parce qu'on les
montera à la neige quand la bise sera venue. (image : Ron Mueck
sculpteur)
Ça
y est, on a tout !
Mais
non ! Ça continue car on a oublié le principal : les
citrons ! Des jaunes ou des verts.
Il
en faut trois (3) .
Faut
zester et presser et ne rien zeuter sauf le blanc amer et les petites
peaux du dedans.
Les
zestes zi tu zais pas il faut les blanssir et les hasser petit menus.
Alors,
la
surprise du chef,
la voilà : Il faut aussi des pistaches ou/et des amandes
éhontées ou en poudre et/ou de la noix de coco râpée parce que
entière ça ferait trop épais.
Quelle
quantité ?
Moi,
je ferais un total de 300 g, c'est riche (et cher)(Le loir est cher
aussi).
Soit
150 g pistache et 150 g amande, ou bien, 150 g amande et 150 g coco,
ou bien, 150 g coco et 150 g pistache (bof) ou bien 100 g de chaque,
ou bien tu balaies le fond de ta boite à pâtisserie et tu utilises
toute cette poussière, je pense qu'entre 150 g et 300 g de poudres
ça doit aller.
Sur
le document ancien il est annoté l'utilisation de praliné, pourquoi
pas, faut voir ?
Pour
la meringue faudra compter avec 100 g de sucre glace et 1 sachet de
levure chimique(?)
Ça
y est, on a tout ! On commence :
Foncez,
cuisez, éventuellement avant, la pâte dans un moule beurré comme
un ptit-lu et chemisé (on saupoudre le beurre avec de la farine)
Touillez
sévèrement les œufs cassés avec le sucre.
Ajoutez
le gras.
Ajoutez
les poudres.
En
touillant, ajoutez les zestes, puis le jus petit à petit. Si ça
ressemble à du tiramisu à ce moment là, … disons que vous avez
de la chance.
Connaissez-vous
la Blédine goût biscuit ? C'est très pratique pour épaissir
un appareil à tiramisu. Faut en mettre petite cuillère après
petite cuillère, jusqu'à la consistance voulue.
Versez
l'appareil dans la pâte (pensez que ça gonfle un peu !) et
vous mettez au four à 200°C 30 minutes, plutôt vers le bas.
Vérifiez la cuisson avec un couteau comme pour tous les flans.
On
prépare la meringue !
Il
faut battre les blancs d'oeuf très très ferme en ajoutant le sucre
glace petit à petit à la fin. L'utilisation de levure chimique vous
étonne ??, moi aussi ! Ça peut pas faire de mal ...
Quand
la tarte au citron est cuite, il faut la sortir du four et la
recouvrir de l'appareil à meringue : Il faut étaler et décorer
soit à la fourchette soit à la douille et remettre au four une
10zaine de minutes.
Et
voilà !
Vous
pouvez consulter la recette qui a servi de base sur naniskitchen
Ça sera plus simple pour moi et il y a plein de fotos et
plein d'autres recettes.
vendredi 24 août 2012
Le nœud Wind sort mais la cravate passe.
Préambule :
« Manuel,
on va avoir besoin de toi ! »
Manuel,
c'est notre mannequin mexicain, notre Maniquí mexicano. Si !
Hacemos lo que podemos con lo que tenemos. (On fait ce qu'on peut
avec ce qu'on a.)
« arriba,
arriba ! »
Je
t'explique : Mon clavioteur, papounechké, papylu, et consors
m'informe qu'il doit se rendre demain à la noce.
Ah !
Mais
c'est un mariage habillé ! Ça veut dire costard et cravate et
chaussures qui brillent !
Le
costard on l'a ressorti de la cave. Il était dans sa housse, il n'a
ni maigri, ni grossi, ni autre chose et les mites l'ont épargné !
Seulement voilà, le clavioteur il en pris pour quinze ans depuis le
premier et seul usage de ce costard à j'sais pas combien de mille
Francs ; et si, Madame, c'était les Francs dans ce temps là !
Et on essaie la veste … il la remplit bien mais c'est plutôt
valorisant, du moment que le bouton ne décide pas de s'éjecter !
Elle ne risque pas de se froisser au niveau de la poitrine ni au
niveau du tour de taille mais ça va !
Allez
hop , on passe au futal … A la une , à la deux, à la
trois ! Pour fermer la ceinture, ça me rappelle les jeans des
années 60 : allongé sur le lit en rentrant le ventre fort. Et
ouais, ptit jeunot, le 501 heureusement qu'il était à boutons,
sinon chrrrac en un éclair de fermeture, la braguette explose !
Ça
va Clavioteur, respire avec le haut ! La vessie, la prostate, …
ok ? Et l'agrafe, elle va tenir ? Oui, serre la ceinture, …
encore... ! Hey mais t'es beau gosse, en costard, tu sais ?
Maintenant
on recommence avec la chemise blanche … toute neuve, parce que
parmi les chemises de la penderie, il n'y a plus sa taille. Ça
rétrécit au lavage, mais ouiiii ! Toi tu ne dois pas te laver,
ou t'es classé irrétrécissable ! Plutôt expanssable avec
annexes au niveau de la taille !
Message
personnel : Si il y a quelqu'un qui peut me dire ce qu'il y a d'écrit
sur cette cravate, il serait super sympa de me le dire ! Viet
namien ou chinois, ou, …
La
cravate ! Là, dans l'armoire il y a de la marque ! Les
cravates ne sont pas usées ! C'est faire le nœud qui pose
problème ! Allo, Internet, http://www.noeud-de-cravate.com/ ?
Authentique, essayez !
Bon,
ça nous a donné l'idée de faire un article. Et on se marre parce
qu'on imagine tous ces pauvres types que leur bonnefemme va venir
gonfler : « Chééériii, tu devrais apprendre ce nœud,
ça changerait du tien qui est trop petit ! » Ne nous
remerciez pas, et surtout il n'est pas utile d'écrire, service No
Reply comme ils disent ! Nous n'habitons plus à l'adresse
indiquée !
Il
est pas beau Manuel ?
Comment
nouer le Noeud Windsor :
C'est
un nœud qui fait moins ado étranglé, guichetier de banque ou
(assezminables) assimilables que le nœud simple et
il remplit mieux le col de la chemise.
Ces
consignes sont données pour un droitier, selon gauche/droite du
porteur de la cravate .
Ne
travaillez pas trop serré, l'ajustement de la cravate en serait plus
difficile.
- Départ cravate autour du cou, grande pointe (GP) à la gauche du porteur, couture vers la chemise ou vers la peau si vous êtes torse nu. Nous appellerons « Brin gauche » la partie de la cravate qui s'enroule autour du cou sur la côté gauche et « brin droit » … l'autre.
- Glisser la cravate autour du cou jusqu'à ce que la petite pointe (PP) se place en haut de la poitrine, selon la longueur de la cravate, selon votre stature, selon la stature de votre bide.
- La main gauche maintiendra la PP et contrôlera la tête de nœud.
- Passer la GP de gauche à droite par devant la petite pointe.
*
*
- Remonter la GP par le cou pour la faire retomber devant le brin gauche.
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*
- Passer le GP de gauche à droite
par derrière le nœud.
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*
- Remonter la GP par devant
pour la faire passer devant le brin droit,
puis retomber par le côté cou.
Autrement dit : enrouler de bas en haut le GP
autour du brin droit.
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*
- Faire passer la GP de gauche à droite
en la plaquant sur le devant du nœud.
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*
- Remonter par le cou et passer la GP dans la boucle qui vient d'être faite.
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- Ajuster. Il y a un petit repli pas beau sur le brin droit, t'as vu ?
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Hey,
j'ai trouvé un truc sympa pour retenir la PP derrière la GP :
Un petit carré de ruban adhésif recto verso genre matériel
scolaire.
Pour
se faire des réserves. On ne sait jamais, il y a toujours une
gonzesse ou deux (ou plus si affinité) qui viennent jouer avec les
cravates ; ou alors, pire, le secouriste qui vous arrache la
cravate pour vous mettre en sécurité … une fois réanimé, tip
top, on remet la cravate avec le ptit scotch, on se tape un ptit
scotch, et on peut retourner danser en toute distinction, la clâââsse
quoââ !
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