samedi 19 novembre 2011

Bête de nuit.


Aaaaah !
Nous claviotions, mon vénéré maître et votre serviteuse, moi-même ...
C'était,
Hier,
Vendredi,
Le jour du poisson, pourtant !
Il était déjà tard,
Mais nous lisions les blogs,
Les 150 oeuvres des amis,
La fenêtre avait été fermée,
Non, aux frimas !
Tout dormait autour de la maison.
Quand soudain …
Aaaaah !
Chlack !
Chlacket, plutôt, car c'était un petit chlack. En espagnol on aurait dit « chlackito » pour exprimer le diminutif, un peu humiliant. [Oui, je sais, il existe des grands chlackito mais on ne va pas en faire tout un cirque, il manque pind'air, celui-là!]
Chlack ! Un monstre s'abat soudain sur la fenêtre.
Plus que le virus de l'informatique ou le bug de l'an demil, the window's monster is arrived.
(« Le monstre de la fenêtre est par minou » si je peux traduire)

Ziiiiiip, et il n'y a pas de cran sur l'écran et ce gland glisse se rattrapant avec cran du peu qu'il peut au seuil de l'écran parcourant des yeux en un infernal aller et retour les mots sans nom fichier édition ; parfois même les icônes dont il ignore le sens, la signification !

Moi, je lui crie :
« accroche toi à la barre d'outils !»
Mais que nenni, il glisse et remonte.
Ça a bien duré une heure. Alors on l'a foutu dehors.
On se lasse de tout …

Ce matin il était encore derrière le volet, un peu figé par le froid de la nuit. Il a fait soleil, il a du partir vers un arbre ou dans le ventre d'un des oiseaux que je vais manger avant l'été.

Hey, pssst, c'est le costard à Dracula qu'il a là ?! 
T'as vu son slip ? Pfouffff !

Good night les bêtes et ceux qui les affectionnent !

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